Tension au lycée Pardailhan où le recteur d’académie a été empêché de tenir une réunion. Qualifiée de « provocation » par les manifestants contre des suppressions de postes.
Pour les enseignants des collèges et lycées gersois (200 selon les syndicats, « une centaine » selon la police) mobilisés hier, « cette réunion était une provocation ». L’expression est de Franck Gombaud, le secrétaire départemental du SNES-FSU qui, avec la CGT Educ’action, s’était promis de mener la vie dure au recteur d’académie. […]
Alors qu’un temps les entrées du lycée ont été bloquées, une « rencontre » avec les manifestants a eu finalement lieu entre Olivier Degrip et son… comité d’accueil. « Mais le recteur n’ayant voulu rien lâcher, pas question pour nous de céder », ajoutait Franck Gombaud, qui promet d’autres « actions » lors de la grève nationale du 10 février.
Lire l’article dans son intégralité.
—–
Le SNES en campagne – Budget/Rentrée 2011 – « 4800 emplois en moins, 48500 élèves en plus, cherchez l’erreur ! » (Article du 16 janvier 2011)
Le Site du SNES Toulouse